Le Rallye de Paris est devenu un grand classique des rallyes sportivo-touristiques de début de saison. Il fêtait l’an dernier sa trentième édition. Cette année, programme et parcours étaient strictement identiques à l’an dernier de sorte que je ne vais pas vous le raconter en détail et je vais privilégier l’image.
Mais 2024 fut encore une bien belle édition, même si on a eu l’impression que l’organisateur faisait des économies après le faste 2023 (un buffet le samedi soir …), encore bravo à la très nombreuse équipe de RALLYSTORY et à leur dévouement.
Cette année, l’invité de marque était le monégasque Raul Marchisio, dit le « professeur Raul », venu en Lamborghini Aventador SV. Cet ancien pilote de rallye, devenu collectionneur et vendeur de supercars à Monaco, a fait l’unanimité par son sourire, sa gentillesse et son abord facile, laissant même les gamins monter dans son auto et la démarrer.
Raul avec Le Fils
Jour 1
Monthléry le matin puis rallye vers l’Hôtel Royal de Deauville.
On remarquera en particulier la Porsche 904 GTS de 1964 (n°1) , la Porsche 911 RSR de 1972 (n° 6), l’Ultima GTR qui a participé l’an dernier mais ne roulait pas cette année, la Maserati MC20 du garage Schumacher Paris (n° 89), la Dallara Stradale 2022 (n° 74), la Ford Mustang un peu égarée dans pareil panel mais qui y a toute sa place, comme la Citroën SM Maserati qui revient chaque année …
Jour 2
Départ de l’Hôtel Royal et rallye vers Le Mans pour des sessions sur le circuit jusqu’à 18 heures.
Salut aux spotters de @le_perche_web_tv, @rallye_des_trous_ducs, @betty_du_perche, @trackfocus.media, @zzridersphotographe 🙂
Une vidéo de ZZ Riders :
Suggestions à l’organisateur
Laisser tomber Monthléry, circuit trop vieux et fatigué à tel point que cette année beaucoup de belles autos n’y ont pas roulé, ce qui était dommage pour le public qui était admis. Il y a des pierres qui se détachent du revêtement, les caisses basses tapent et frottent aux raccordements, on se demande si on ne vas pas passer à travers l’anneau et puis toutes ces chicanes n’ont aucun intérêt. Les rapeurs de bitume ont largement de quoi s’exprimer le dimanche au Mans sur le magnifique billard du circuit Bugatti, à partir de 11 heures et jusqu’à 18 heures, avec les commissaires ACO très professionnels et dans un cadre autrement plus grandiose, historique et sécurisant !
Arriver plus tôt à Deauville ! Arriver vers 16h maxi afin que les accompagnatrices puissent profiter un peu de la ville, de ses boutiques, des planches, de l’hôtel somptueux, voir la mer … Et pourquoi ne pas imaginer un alignement des 100 autos sur les planches ?
Faire un départ du Château de Rambouillet ou du Château de Dampierre (Versailles est trop encastré en ville et les pavés et saignées ne conviennent pas à nos autos). Cela éviterait la partie fastidieuse dans l’Essonne, raccourcirait le trajet et laisserait plus de temps pour un contrôle de passage déjeuner prestigieux.
Le dimanche, garder un stand ouvert au restaurant-terrasse pour celles et ceux qui ne pilotent pas, surtout en cas d’intempéries ou de froid de canard.